Allez ! Lève-toi et marche
traverse ces réveils de brumes
où se dissipe l’opacité pâle de l’œil trompé
par les eaux troubles de ton cœur ennui
Avance dans l’aveuglement risqué
des premiers pas de l’aube
où demeure diaphane
l’impression des incendies de poitrines
S'estompent peu, mais peu à peu
ceux qui ont l’habitude de ne plus être là le jour
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