Petit matin, petit éveil et mon esprit aussi
comme fantôme défait d’un corps sans vie
carcasse cassée d’un corps-circuit
otage entre les tenailles des nuits zombies
asservi par l’étreinte des heures asphyxies
J'attends l’aube, espérant l’arc-en-ciel
Petit jour, petit reflet et mon corps aussi
carcasse cassée d’un corps-circuit
sentinelle ensommeillée, sans ennemies
asservi par l’étreinte des heures asphyxies
cloîtrée dans l’étrange étau des jours agonies
Alors j'attends l’aube, espérant l’arc-en-ciel
puis j'entends l’aurore allumer l’horizon
Petite nuit, petite veille et ma vie aussi sentinelle ensommeillée, sans ennemies
comme fantôme défait d’un corps sans vie
cloîtrée dans l’étrange étau des jours agonies
otage entre les tenailles des nuits zombies
Ainsi j'attends l’aube, espérant l’arc-en-ciel
aussi j’entends l’aurore allumer l’horizon
et aussitôt je surprends le petit matin ouragan, l’éteindre
Beau poeme