Patience qui s’allonge lourdur il fait froid et le fleuve est lent d’hiver
Cruelle cadence l’amont se vide sans âme affichant pattes d’oies aux coins des regards dont l’absence sait geler les heures le cours coule en mouvement du temps
Étrave vers l’amer à voir y circulent des grondements friables où des craquements désorganisés rigolent de l’impuissant horizon mouillé
J’ai déposé mon énergie en banc glaciaire prisonnier à l’air libre de ton absence
Personne ne regarde la parade du givre
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