L’habitation n’est pas hantée car Rose y demeure à pleurer.
Sans jardin, sa maison comme son cœur esseulé est dans un noir étrange, discrètement étoilé.
La façade pourtant sans rides a grisonné.
Le palier suspendu devant une porte fermée est sans réverbère, ni trou à lettres à l’entrée.
Sa cheminée est froide, ça ne date pas d’hier, et le toit comme Rose, renvoie la lumière.
L’unique fenêtre laisse entrevoir le vide qui y habite et sans plus de cour, elle reste là, avec son âge en faillite.
J’adore surtout en cette journée de pluie diluvienne!!!